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Haute Lande : Quand inclusion sociale rime avec excellence agricole

Situé à Captieux, dans le Sud-Gironde, l'ESAT Ferme de la Haute Lande est bien plus qu'un simple établissement d'aide par le travail. Depuis 1984, cette structure remarquable accompagne des personnes en situation de handicap en leur offrant des opportunités professionnelles ancrées dans le terroir local.

Un complexe inclusif et diversifié

L'ESAT s'inscrit dans un ensemble plus vaste, comprenant un Foyer d'Hébergement, un Foyer Occupationnel et un Service d'Accueil de Jour.

Cette approche globale permet un accompagnement complet des travailleurs, favorisant leur épanouissement personnel et professionnel.

Une ferme aux multiples facettes

La Ferme de la Haute Lande se distingue par ses quatre activités principales :

  1. Élevage de bovins de race bazadaise avec un troupeau de 220 têtes, ce qui en fait le premier éleveur girondin de cette race. La ferme élève également quelques porcs.
  2. Conserverie.
  3. Maraîchage de 2 hectares de culture bio.
  4. Espaces verts et sous-traitance de travaux manuels.

Avec ses 170 hectares de surfaces agricoles, dont 20 hectares de grandes cultures et 2 hectares de maraîchage bio, la ferme offre un cadre de travail exceptionnel. Le fleuron de l'exploitation reste son troupeau de 220 bêtes.

Un engagement pour la qualité et le patrimoine local

L'ESAT a en 1984 fait le choix audacieux de se concentrer sur l'élevage de bovins bazadais, une race en déclin et reconnue pour la qualité exceptionnelle de sa viande. L'exploitation assure un cycle complet, de la naissance à l'engraissement, privilégiant une approche extensive sur les prairies de Captieux et Lerm-et-Musset.

La Fête des Bœufs Gras : Une tradition vivante

ESAT Captieux Affiche Boeufs Gras 2025 Copie page 0001

© Crédit photo ESAT Haute-Lande

Point d'orgue de l'année, la Fête des Bœufs Gras, organisée le dimanche précédent celle de Bazas, le dimanche 22 février 2025, sera l'occasion de célébrer ce patrimoine culinaire unique. L'événement attire un public nombreux et enthousiaste. En 2024, pas moins de 500 repas ont été servis, témoignant de l'engouement croissant pour cette manifestation.

 

Une ferme ouverte et transparente

La journée de fête est aussi l'occasion pour le public de visiter la ferme et de constater de visu la qualité de l'élevage, où le bien-être animal est une priorité absolue. Ces portes ouvertes contribuent à créer un climat de confiance entre l'ESAT et la communauté locale. L'ESAT Ferme de la Haute Lande est un exemple inspirant d'inclusion sociale et de préservation du patrimoine agricole. En alliant tradition et innovation, cet établissement offre non seulement des opportunités précieuses aux personnes en situation de handicap, mais contribue également à la vitalité économique et culturelle de la région.

Coordonnées

ESAT Ferme de la Haute Lande
4 Grand Lartigue
Route de Maillas
33480 CAPTIEUX

Téléphone : 05 56 65 62 29

Jean-Baptiste Casenave

Nos assiettes ont du pouvoir de Laurence Dessimoulie

Laurence Dessimoulie est une cuisinière éco-responsable et auteure française, vivant dans le Médoc. Elle se spécialise dans la cuisine utilisant des plantes sauvages comestibles. Elle pratique la cueillette de plantes sauvages depuis une vingtaine d'années.

Sa philosophie culinaire repose sur plusieurs principes :

  • La reconnexion avec le monde du vivant et le retour au bon sens.
  • La promotion de la cueillette comme moyen de redécouvrir des saveurs oubliées.
  • L'utilisation de plantes sauvages comestibles dans la cuisine.
  • La sensibilisation aux vertus médicinales des plantes.

« Nos assiettes ont du pouvoir ! ».

Des mots qui peuvent se lancer comme un cri, parfois joyeux, parfois douloureux. Comment rester insensible devant une assiette où règne la « malbouffe » ? Où suintent tous les dégâts collatéraux pour la santé, pour nos paysages, pour le vivant ? Il existe encore trop souvent une déresponsabilisation incroyable autour de cet acte qui rassemble tous les êtres : se nourrir. La facilité de gestes consuméristes, appauvris de toute compréhension de fabrication, de provenance, reste avilissant, nous prive de la capacité à sentir et ressentir l’essence même des cycles de vie duquel chacun de nous reste en revanche profondément dépendant. Pourtant, quel plaisir savoureux d’être entraîné dans la multiplicité de relations nourricières en réalisant des recettes saines, équilibrées ! Elles nous recentrent au cœur de liens forts avec des paysans, avec des paysages, avec la vie qui anime nos corps et nos pensées. De partout surgissent les appels à la transition pour tenter de faire face aux questions écologiques. Nos assiettes restent un maillon fort dans ces enjeux. Bien sûr, il ne s’agit que d’un maillon, parmi tant d’autres, intrinsèquement enlacés dans le rouage de la vie. Mais sur ce point, nous pouvons saisir quelques leviers qui nous entraînent dans des sillages vertueux pour le vivant. Ce livre souhaite apporter quelques pistes et ne se prétend absolument pas exhaustif dans le domaine. Il s’agit de partager des voies empruntées, éprouvées : celles des semences paysannes, de la cuisine sauvage, d’une cuisine davantage végétale et nourricière, c’est-à-dire riche en nutriments synthétisés par les plantes sur des sols vivants.

Pour une transition nourricière !

Ce livre explore quatre pistes de réflexion concernant notre alimentation, son rapport au territoire, aux enjeux environnementaux et à l’éthique dans plus de 50 recettes.

Nos assiettes ont du pouvoir couvertureSemences paysannes dans l’assiette Une invitation à chercher autour de chez soi des fermes engagées dans la biodiversité.

Du sauvage dans nos assiettes Plantes sauvages, végétaux nourriciers de la forêt, épices sauvages.

Végétaliser son assiette Les végétaux riches en protéines complètes, le choix de végétaux résilients et nutritifs.

La cuisine zéro gâchis Utiliser les restes, les fanes, les épluchures, les peaux d’agrumes, conserver les légumes (lactofermentation, déshydratation) …

Fiche technique

Format : 17 x 22 cm

Pagination : 112 pages

Prix de vente : 17 €

 

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Librairies de Nouvelle-Aquitaine

Librairie Mollat

CONTACT ÉDITIONS SUD OUEST

Catherine Dubreil - 05 35 31 21 37 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Éditorial de la Présidente : Histoire de Tupperware…avant Trump !

En ce début d’année 2025, il ne s’agit pas de vous proposer un déplacement aux États-Unis de Trump ou au Canada dont il rêve absurdement de faire un cinquante et unième État…Non, il s’agit de revenir, sans quitter notre région, à la grande vogue des boîtes Tupperware en Europe, quelques mois après le choc de leur presque faillite due à un nécessaire changement de matière première ! Ces « boîtes alimentaires » que vous avez sûrement connues et sans doute utilisées sont en effet originaires des États-Unis mais leur arrivée en Europe date de 1959, quinze ans après un autre débarquement d’une toute autre ampleur, le 6 juin 1944. À vrai dire, l’empreinte de ces boîtes en plastique, inventées en 1946 par Earl Tupper, fut d’une puissance inégalée pendant des décennies. Elle eut pour messagère une Périgourdine, Christiane Jensen, qui avait convolé avec un Américain dont les parents, dans l’Iowa, étaient représentants de l’entreprise Tupperware. Mieux encore, on sait que la première « réunion Tupperware » eut lieu à Périgueux, le 10 octobre 1959, cours Victor Hugo chez une « hôtesse » qui fut la première de la Vieille Europe à promouvoir dans son salon ou sa salle à manger les premières livraisons par bateau de ces boîtes quasi-miraculeuses, bonnes à entreposer et à superposer dans des frigidaires de plus en plus présents dans les foyers du Vieux Continent. Partie de la Dordogne, l’invasion des Tupperware gagna les départements voisins grâce au recrutement d’une armée pacifique de maîtresses de maison, devenues ambassadrices du plastique américain. Ces boîtes, déformées, séparées de leur couvercle hermétique, rognées par quelque contact avec le feu, leur pire ennemi, ont peu à peu disparu, mais il en reste encore, déballées dans les vide-greniers. Et, surtout, elles restent présentes dans nos souvenirs et gardent un secret laissé à votre appréciation personnelle : étaient-elles ou non de parfaites conservatrices du goût des denrées qu’elles renfermaient jalousement, une fois l’air évacué par un geste devenu familier ?

Anne Marie Cocula

Présidente de l’IGNA

Tupperware editorial fevrier 2025

Illustration générée par IA

L’IGNA vous fait découvrir un acteur investi du Thouarsais !

Dans le cadre de notre partenariat avec le collectif Créativité et Territoires, il nous a permis de découvrir l’Université Citoyenne du Thouarsais, avec qui une rencontre est prévue mi-janvier. Avec cet acteur investi qui a pour but de proposer des thématiques de conférences aux habitants du Thouarsais, des liens sont possibles sur une prochaine rencontre. Alors qui sont-ils ?

 L’Université Citoyenne du Thouarsais : « savoir pour comprendre, comprendre pour agir »

 Citoyen Thouars SallePar suite d’une première expérience réussie de réunion publique en 2008, il a été décidé, par un groupe de Thouarsais, de fonder le 7 janvier 2009, l’Université Citoyenne du Thouarsais.  L’association s’est donnée pour objectifs « l’information et la formation des citoyens », « la diffusion des connaissances utiles pour être pleinement acteurs de la vie publique, au niveau international, national et local ». Elle propose des soirées-rencontres gratuites sur des sujets de société afin d’apporter à tous des clés de compréhension du monde d’aujourd’hui.

En somme, notre cheval de bataille : « Comment faire en sorte que les gens s’intéressent à la vie publique et s’y engagent ? » . En ce sens, des liens étroits avec l’Espace Mendès France de Poitiers, Centre de culture scientifique et force de propositions, contribuent à la démarche

Un conseil d’administration impliqué pour des sujets actuels, locaux comme généraux

Riche de l'engagement des personnes composant le conseil d'administration, l'Université Citoyenne a organisé depuis 2008, des événements réguliers : films-débats, conférences-débats, témoignages, expositions, ateliers, etc.

Le conseil d'administration est aujourd'hui composé de 8 personnes qui se réunissent chaque mois pour construire une programmation, privilégiant le format soirées-conférences. Les idées, qui ne manquent pas, émergent de ce qui interpelle en qualité de citoyen, des expériences et sensibilités de chacun, des observations et lectures, etc... Cette démarche permet de s'intéresser à une grande diversité de thèmes, les plus récents étant la réduction des gaz à effet de serre, réalité et vérité(s), l'implication citoyenne, l'eau potable, la terre crue comme matériau de construction, les océans et la pollution « plastiques ».

Après le COVID, l’association s'est mobilisée pour retrouver un public en s'appuyant principalement sur des préoccupations locales et bénéficiant de l'ouverture d'une  salle de conférence (la Station T, en centre-ville) qui accueille désormais ces temps de rencontres-échanges. 

Les prochaines dates à la Station T à Thouars

L'animation des soirées peut être confiée à des experts du territoire, les initiatives locales ayant toute leur place, comme à un universitaire, en faveur d'un éclairage plus global. L’association affiche son indépendance par rapport aux partis politiques et aux syndicats. Ce positionnement n’empêche pas de les inviter et les échanges doivent permettre un enrichissement sans que cela devienne une tribune quand les sujets sont sensibles.

* Conférence-débat : "Le logement dans le monde d'aujourd'hui" - mardi 14 janvier de 20h30 à 22h30.  Avec le concours de Marie BOUX, directrice de la maison de l'urbanisme et Flavie NEAU, chargée de mission habitat (Communauté de Communes du Thouarsais), de François-Xavier BERTHOD, directeur de l'ADIL 79 (agence départementale d'information sur le logement).

* Conférence-débat : « L’aquaculture, une filière d'avenir ? » - jeudi 13 février   de 20h30 à 22h30. Avec Matthieu GALLARD, ostréiculteur, éleveur, affineur. L'aquaculture représentera plus de la moitié de l'offre globale de poissons d'ici 2032 (55 % selon la FAO/OCDE)

* Conférence-débat : "le CESER" Nouvelle Aquitaine (Conseil économique, social et environnemental régional) - mardi 18 mars de 20h30 à 22h30 avec son président Yves JEAN, témoignera de la place et du rôle de cette instance à côté du Conseil Régional.

* Film documentaire et échanges : « vivre avec ses différences, une chorale qui témoigne » - mardi 8 avril de 20h à 22h30. Film-documentaire de Claude MARCHAIS « Ils sont tombés dans l'Egaye » (chorale l'Egaye constituée majoritairement de personnes en difficultés psychiques, physiques ou sociales, de soignants). La projection du film sera suivie d'un échange avec les choristes présents et leur chef de chœur Anne Koppé. Un mini-concert de la chorale conclura la soirée.

* Conférence-débat : « être citoyen européen » - mardi 13 mai de 20h à 21h30 avec Laurent CAILLAUD et Adeline LABBE, enseignants de la « section européenne » au lycée Jean Moulin de Thouars, qui témoigneront de l'apport d'une telle option auprès des jeunes.

 

* Assemblée générale ordinaire de l'Université Citoyenne du Thouarsais - de 21h30 à 22h30. Venez nous rejoindre !

 « On donne des clés, on ne dit pas ce qu’il faut penser ».

Pour en savoir plus : https://universite-citoyenne-thouars.fr  ou rendez-vous salle Station T, rue Danton, à Thouars (Deux-Sèvres).

Contact :  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Claire Marquet

Présidente de l’association

Mot de la Présidente : Futurs Noëls au balcon ou sous les orangers

Peut-être vous souvenez-vous de cette chanson qui faisait partie du répertoire de Bourvil et proclamait que l’on ne verrait jamais un oranger sous le ciel irlandais ! On s’en rapproche à grands ou petits pas. Voilà que les orangeraies qui étaient un luxe dans les châteaux et les belles demeures de chez nous s’apprêtent à gagner la terre ferme et à ne plus être sujettes à de lourds transports entre les serres de l’hiver et les terrasses de l’été exposées au soleil et à la vue envieuse de promeneurs tenus à distance ou d’heureux convives venus déguster leurs fruits ou se délecter d’eau de fleur d’oranger. Désormais, en Nouvelle-Aquitaine, on sait que les plants de tabac ont cédé la place à d’autres cultures et que leurs séchoirs de bois, ventilés de courants d’air, disparaissent du paysage ou laissent place à d’autres usages. On a appris que les champs de maïs, gourmands de pompage et d’arrosage, devraient remonter vers le Nord du pays, préservé des séquences trop chaudes et trop arides des étés à venir. C’est ainsi que l’agroclimatologie permet d’envisager qu’en 2050 les cultures de La Rochelle seront semblables à celles de Toulouse aujourd’hui. En somme, l’équivalent d’une dérive de l’Occitanie vers nous et de la Catalogne vers l’Occitanie. À faible échéance de temps, la création de nouvelles filières est devenue nécessité dans notre région : ici, grandiront des plantations d’oliviers, là, des agrumes avec un rôle grandissant des citronniers, ou des grenadiers aux beaux fruits rouges explosifs, à la fois juteux et porteurs de vertus médicinales.

Il n’est donc plus question des Noëls du XIXe siècle avec une ou deux oranges sorties de la hotte et déposées dans les sabots, mais de cultures nouvelles qui, d’ores et déjà, imposent un apprentissage du goût des jeunes générations. L’IGNA s’y emploie avec succès…

Anne Marie Cocula

Présidente de l’IGNA

Université citoyenne du Thouarsais : « savoir pour comprendre, comprendre pour agir »

Université citoyenne du Thouarsais : « savoir pour comprendre, comprendre pour agir »

Pour donner suite à une première expérience réussie de réunion publique en 2008, il a été décidé par un groupe de thouarsais de fonder le 7 janvier 2009, l’Université Citoyenne du Thouarsais.

L’association s’est donnée pour objectifs « l’information et la formation des citoyens », « la diffusion des connaissances utiles pour être pleinement acteurs de la vie publique, au niveau international, national et local ».

L’université citoyenne du Thouarsais propose des soirées-rencontres gratuites sur des sujets de société afin d’apporter à tous des clés de compréhension du monde d’aujourd’hui.

En somme, notre cheval de bataille : « Comment faire en sorte que les gens s’intéressent à la vie publique et s’y engagent ? ». En ce sens, des liens étroits avec l’Espace Mendès France de Poitiers, Centre de culture scientifique et force de propositions, contribuent à la démarche

Un conseil d’administration impliqué pour des sujets actuels, locaux comme généraux

Riche de l'engagement des personnes composant le conseil d'administration, l'Université Citoyenne a organisé depuis 2008, des événements réguliers : films-débats, conférences-débats, témoignages, expositions, ateliers, etc.

Le conseil d'administration est aujourd'hui composé de 8 personnes qui se réunissent chaque mois pour construire une programmation, privilégiant le format soirées-conférences. Les idées, qui ne manquent pas, émergent de ce qui interpelle en qualité de citoyen, des expériences et sensibilités de chacun, des observations et lectures, etc... Cette démarche permet de s'intéresser à une grande diversité de thèmes, les plus récents étant la réduction des gaz à effet de serre, réalité et vérité(s), l'implication citoyenne, l'eau potable, la terre crue comme matériau de construction, les océans et la pollution « plastiques ».

Après le COVID, l’association s'est mobilisée pour retrouver un public en s'appuyant principalement sur des préoccupations locales et a soutenu l'ouverture d’une salle de conférence (la Station T, en centre-ville) qui accueille désormais ces temps de rencontres-échanges. 

Les prochaines dates à la Station T à Thouars

L'animation des soirées peut être confiée à des experts du territoire, les initiatives locales ayant toute leur place, comme à un universitaire, en faveur d'un éclairage plus global. L’association affiche son indépendance par rapport aux partis politiques et aux syndicats. Ce positionnement n’empêche pas de les inviter et les échanges doivent permettre un enrichissement sans que cela devienne une tribune quand les sujets sont sensibles.

* Conférence-débat : "Le logement dans le monde d'aujourd'hui" - mardi 14 janvier de 20h30 à 22h30.  Avec le concours de Marie BOUX, directrice de la maison de l'urbanisme et Flavie NEAU, chargée de mission habitat (Communauté de Communes du Thouarsais),  de François-Xavier BERTHOD, directeur de l'ADIL 79 (agence départementale d'information sur le logement).

* Conférence-débat : « L’aquaculture, une filière d'avenir ? » - jeudi 13  février   de 20h30 à 22h30. Avec Matthieu GALLARD, ostréiculteur, éleveur, affineur. L'aquaculture représentera plus de la moitié de l'offre globale de poissons d'ici 2032 (55 % selon la FAO/OCDE)

* Conférence-débat : "le CESER" Nouvelle Aquitaine (Conseil économique, social et environnemental régional) - mardi 18 mars de 20h30 à 22h30 avec son président Yves JEAN, témoignera de la place et du rôle de cette instance consultative, 3ème après le Sénat et l'Assemblée Nationale.

* Film documentaire et échanges : « vivre avec ses différences, une chorale qui témoigne » - mardi 8 avril de 20h à 22h30. Film-documentaire de Claude MARCHAIS « Ils sont tombés dans l'Egaye » (chorale l'Egaye constituée majoritairement de personnes en difficultés psychiques, physiques ou sociales, de soignants). La projection du film sera suivie d'un échange avec les choristes présents et leur chef de chœur Anne Koppé. Un mini-concert de la chorale conclura la soirée.

* Conférence-débat : « être citoyen européen » - mardi 13 mai de 20h à 21h30 avec Laurent CAILLAUD et Adeline LABBE, enseignants de la « section européenne » au lycée Jean Moulin de Thouars, qui témoigneront de l'apport d'une telle option auprès des jeunes.

 

* Assemblée générale ordinaire de l'Université Citoyenne du Thouarsais - de 21h30 à 22h30. Venez nous rejoindre !

 

« On donne des clés, on ne dit pas ce qu’il faut penser ».

Pour en savoir plus :  https://universite-citoyenne-thouars.fr  ou rendez-vous salle Station T, rue Danton, à Thouars (Deux-Sèvres).

Contact :  Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Claire Marquis

Conférence : Alimentation et Paysages en Nouvelle-Aquitaine

L'Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine s'est fait une spécialité de la thématique "Alimentation et Paysages en Nouvelle-Aquitaine". Son ADN est de soutenir que chaque paysage soit le fruit du travail ou de l'entretien d'une agricultrice, d'un agriculteur. Ainsi nous défendons que chaque consommateur dans son acte d'achat a un impact sur notre environnement, notre agriculture et notre santé.

Pour aller dans ce sens, l'IGNA a organisé une première conférence à Loudun en novembre qui a été suivie d'une deuxième, le 28 novembre dernier en visio en partenariat avec la Région Nouvelle-Aquitaine. Elle s'est adressée à plus de 80 salariés du Conseil Région des 3 sites : Limoges, Poitiers et Bordeaux.

Conference IGNA Region 28.11.2024

Après une introduction de la personne en charge de ce format : Stéphanie, Laurent Le Chevallier a introduit l'intervention en rappelant l'importance de conserver la typicité et la variété des paysages nourriciers de notre région. Pour cette 2e conférence, l'IGNA avait invité Raphael Schirmer, enseignant-chercheur en géographie, spécialiste du vin et de l'alimentation, Responsable du Master ADRET (Alimentation Durable et Résilience Territoriale) à l’Université Bordeaux Montaigne. Il a partagé ses travaux et perspectives sur les liens entre alimentation, territoires et durabilité, avec des focus illustrés sur la richesse des paysages de Nouvelle-Aquitaine.

 Pour découvrir cette conférence, nous vous invitons à visionner la vidéo suivante : Alimentation et paysages en Nouvelle-Aquitaine.

Isabelle Péroche

Le Chapon : Une Tradition Gourmande des Fêtes de Fin d'Année

Le chapon, ce mets raffiné qui orne les tables des fêtes, incarne une tradition culinaire profondément ancrée dans l'art de vivre à la française. Élément phare des repas de Noël ou du Nouvel An, le chapon séduit par sa chaise tendre et savoureuse, son histoire riche et ses méthodes d'élevage spécifiques. Plongeons dans les secrets de cette tradition gourmande.

Deux événements mettront è l’honneur le chapon en Nouvelle-Aquitaine

Le chapon à Grignols : une fierté locale

La foire de Grignols, souvent accompagnée d'animations festives, est une vitrine de la qualité et de l'authenticité des productions locales. Les producteurs locaux, fiers de leur savoir-faire, proposent leurs volailles prêtes à cuire, souvent présentées avec des conseils sur la meilleure façon de les cuisiner pour en tirer le maximum de saveurs.

Brive-la-Gaillarde : capitale des fêtes gourmandes

À Brive-la-Gaillarde, la foire grasse est une véritable institution. Réputée dans toute la région, cette foire met en avant le chapon parmi d'autres mets de prestige, comme le foie gras ou les truffes

Ce marché gourmand est aussi une occasion unique de redécouvrir les liens entre gastronomie et terroir. Les chefs locaux, parfois présents sur place, n'hésitent pas à partager leurs astuces pour cuisiner le chapon de manière originale ou traditionnelle. L'ambiance chaleureuse de la foire, ponctuée par les discussions animées entre exposants et visiteurs, reflète l'esprit convivial et festif des fêtes de fin d’année.

Pour la préparation voir la vidéo avec les conseils du Chef Greg Holton

Mot de la Présidente : Petits plats maison aux antipodes…

D’ordinaire c’étaient de grandes cartes qui s’étalaient sur les tables des bâtiments mis à la disposition des concurrents en partance avec leurs voiliers pour de longues courses sur les océans du globe. Désormais, elles ont cédé la place aux satellites qui les accompagnent depuis le ciel et aux écrans qui ont pris possession de leurs habitacles. Quant à la nourriture prévue pour quelques 80 jours, voire plus, elle s’est métamorphosée en sachets qui ont, justement, pris la place des cartes, à bord et en mer. C’est ainsi que l’un des concurrents qui a largement fait ses preuves et fignolé sa préparation avec des spécialistes sur tous les terrains de sa navigation en solitaire, d’un hémisphère à l’autre, du 45e degré de latitude jusqu’aux icebergs qui se détachent de l’Antarctique. Pour lui, à bord de son bateau, sont entreposés 160 kilos de nourriture, savamment orchestrés en calories au gré des latitudes : 4000 calories par jour en climat tempéré, près de 5000 pour les zones froides et 3500 pour les zones intertropicales. C’est évident, il est désormais interdit de faire confiance au hasard tant les risques assumés obligent à multiplier les précautions avant le départ. C’est ainsi que sur la table du skipper, tels des guides de voyages ou des dépliants touristiques, voisinent des sachets peu encombrants de nourriture lyophilisée, de plats stérilisés ou déshydratés, le tout avec quantité de boissons capables de répondre aux aspirations du moment et aux variations du goût : thé, café, tisanes ! Mais le plaisir de la dégustation n’a pas dit son dernier mot et l’appétit est sollicité pour des plats agréables à manger, élaborés en fonction des goûts des marins et prévus aux grands moments qui rythment leur course en solitaire : le soir de Noël, le 31 décembre et le 1er janvier en font partie comme les dates d’anniversaire. Le tout avec un absent de marque dont nous sommes devenus esclaves : celui du réfrigérateur ! Bon vent…

Anne Marie Cocula

Présidente de l'IGNA

Petits plats maison aux antipodes

Première rencontre des producteurs de produits au lait cru et des crémiers-fromagers de Nouvelle-Aquitaine

A l’occasion du salon Lurrama dont le thème portait sur « vivre et se nourrir de l’agriculture paysanne », la fondation Lait Cru et l’Institut du goût de Nouvelle Aquitaine, en partenariat avec la fédération des crémiers fromagers de Nouvelle Aquitaine, ont organisé la première rencontre régionale des producteurs de produits au lait cru et des crémiers fromagers le vendredi 8 novembre.

Son but ? Faciliter le lien entre producteurs de produits au lait cru (fromages, beurres) et crémiers fromagers afin de faciliter l’interconnaissance et encourager les échanges.

Les échanges ont été riches. Elle a permis de discuter des atouts de cette filière au lait cru, des difficultés et les besoins de ces acteurs. Parmi la trentaine de participants, les points de vue ou les situations de chacun ont été présentés, selon les productions, selon le contexte, selon le territoire de Nouvelle Aquitaine. Le point commun, malgré les spécificités, reste la volonté à la fois des producteurs et des crémiers fromagers de continuer à valoriser le lait cru, signature incontournable et non délocalisable des territoires.

Parmi les besoins des uns et des autres, il s’est dégagé la nécessité d’avoir des outils de communication basés sur des faits scientifiques qui leur permettent d’argumenter et de valoriser leurs produits et faire contrepoids face aux affirmations et parfois aux injonctions qui poussent vers une non-consommation de produits au lait cru. Il n’a pas été question, d’occulter les problèmes sanitaires qui surviennent dans cette filière mais plutôt de mettre en avant les bénéfices de la consommation de produits au lait cru.

Lurrama 2024 Arnaud Sperat CzarA ce propos, Arnaud Sperat-Czar, le président de la Fondation Lait Cru au niveau national a présenté les principaux résultats du Livre Blanc « Risques et Bénéfices » des fromages au lait cru, paru et exposé à l’académie de médecine à Paris en Octobre dernier. L’impact économique de la filière lait cru a aussi été abordé, notamment au travers d’une des actions mises en place par la fondation lait cru Nouvelle Aquitaine par la constitution d’un observatoire des acteurs et de la production de fromages au lait cru. Cela a permis de mettre en évidence la difficulté de recueillir des données spécifiquement liées à la production de produits au lait cru sur les territoires. L’aspect culturel et patrimonial de cette production a aussi été rappelé par Jean Baptiste Casenave, vice-président de l’Institut du goût de Nouvelle Aquitaine, en mettant en avant aussi tout leur intérêt dans la préservation des paysages. Jean Michel Barreix, producteur fermier d’Ossau-Iraty, en a profité pour rappeler l’importance de cette production dans le maintien des bergers en montagne pour que celle-ci reste vivante et accessible.

Cette première rencontre se voulait une première étape du travail à mener par la fondation lait cru Nouvelle Aquitaine. Elle continuera avec d’autres actions en 2025 dont une, actée en séance, par une mise en commun de la base de données actuelles des producteurs de produits au lait cru et celle des crémiers fromagers.

Fabienne Feutry

Radio CHU Bordeaux : Histoire des Huitres

Radio CHU a réalisé, en partenariat avec l’IGNA un podcast sur l’univers des huîtres, mettant en lumière leur diversité et leur rôle de révélateurs des terroirs marins. Si l'abeille est une sentinelle de l'environnement, l'huître comme la moule est une sentinelle de notre environnement littoral.  Comme le vin, les huîtres reflètent les spécificités de leur environnement, notamment leur salinité, leur pH et les micro-organismes présents. Les variétés d’huîtres en Nouvelle-Aquitaine, comme celles de Marennes-Oléron et d’Arcachon, présentent des différences marquées en goût et en texture, influencées par leurs lieux de culture (fonds vaseux, claires salées, ou pleine mer).

Radio CHU IGNA Logo

Historique :
Les huîtres ont été consommées depuis la Préhistoire. Les Romains étaient de grands amateurs, et l'exploitation de l'huître plate Ostrea edulis remonte loin. L’arrivée des huîtres portugaises (Crassostrea angulata) et japonaises (Crassostrea gigas) a été dictée par des épizooties successives, chaque variété ayant ses propres caractéristiques biologiques (ovipares ou vivipares).

Culinaire :
Les huîtres se consomment crues, mais aussi chaudes, par exemple garnies de fromage blanc aromatisé et de piment d’Espelette, puis passées au four pour une préparation simple et raffinée.

En somme, l’huître est un trésor gastronomique lié à la fois à son terroir et à des pratiques ostréicoles minutieuses.

https://creators.spotify.com/pod/show/radio-chu/episodes/Linstitut-du-Got-Nouvelle-Aquitaine---Les-hutres-e2lusgu

Jean-Baptiste Casenave

Mot de la Présidente : Les saveurs du Palais

Danièle Mazet-Delpeuch (1942-2024) vient de nous quitter et je suis sûre que vous la connaissez, du moins de renommée, après l’avoir découverte au cinéma sous les traits de l’actrice Catherine Frot dans un film intitulé « Les Saveurs du Palais », inspiré par ses Carnets de cuisine. Rétrospectivement, elle était enchantée du tournage et surtout des voyages occasionnés par le succès du film, notamment au Japon qui fut pour elle un rendez-vous culinaire, à la fois passionnant et familier puisqu’il la rapprochait du Périgord et des Périgourdines de son enfance ! Mais, entre temps, que de chemins empruntés ou plutôt que d’avenues parcourues pour devenir la cuisinière de François Mitterrand à l’Élysée, puis de candidater avec succès au poste de cantinière d’un groupe de scientifiques en mission dans l’Antarctique ! Pour elle, c’était presque naturel : le Président, las des plats sophistiqués, avait souhaité retrouver le goût familier d’une cuisine familiale et les exilés volontaires des antipodes s’étaient régalés de mets mijotés dont la saveur faisait oublier les températures des terres gelées qu’ils exploraient. Elle aussi, sa vie durant, s’était lancée dans des explorations faites de contraintes et de passion : contraintes d’une enfance difficile dans la ferme familiale de « La Borderie » en Périgord et d’une vie de femme dotée de quatre enfants en quatre ans et demi ! Sa passion prend naissance et devient envahissante dans les années 1970-1975 avec la mise en place et le succès des « week-ends foie gras » en compagnie de truffes et de confits qui l’ouvrent aux consommateurs du monde, avec un art consommé de la dégustation et de la communication. Puis, c’est la prise de risque avec quelques mots d’anglais pour bagage : la voilà partie aux États-Unis pour y donner des cours et des leçons de cuisine. Mission accomplie à l’aide d’un carnet d’adresses bien rempli et le soutien de collègues admiratifs : à son retour du Nouveau Monde, c’est Joël Robuchon qui la recommande au Président.

Danièle Mazet Delpeuch

© Crédit Photos Edition Ruisseau

Merci, Danièle, pour cette rencontre inoubliable !

Anne Marie Cocula.

Présidente de l'IGNA

L’association Territoires Nouvelle Aquitaine Concours photos 2024

L’association Territoires Nouvelle Aquitaine organise chaque année, depuis 2021, du 1er juillet au 30 septembre, le Concours photos, « Ma Région en Images »,  ouvert à tous, pour valoriser notre patrimoine Néo-Aquitain.

L’objectif principal est de permettre aux Néo-Aquitains de découvrir la plus grande région de France, la leur !

Le nombre de participants, en constante progression depuis 2021, est en 2024 de 881 pour 5670 photos.

Les douze gagnants (soit un par département) reçoivent des livres sur le patrimoine et la culture de notre région.

3 grands gagnants, choisis parmi les 12, reçoivent un panier gourmand de produits locaux de notre région qui mettent en avant notre richesse culinaire.

Pour valoriser les photos des participants depuis 2021, nous allons organiser, à partir de 2025, des expositions dans les villes qui le souhaitent.

Territoires Nouvelle Aquitaine Affiche concours

© Crédit photo TNA

Une exposition est déjà programmée dans le Lot-et-Garonne, en collaboration avec la Mairie de Miramont-de-Guyenne, du 7 au 18 avril 2025.

D’autres sont en cours d’élaboration avec nos partenaires, dont l’Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine pour 2025 et 2026.

Vous pouvez visualiser les photos gagnantes 2024 via le lien ci-dessous :

https://drive.google.com/drive/folders/1Jg3JzxT1yKdIVqoYkyDQmaFBO4Qg2uLN?usp=drive_link  

Nous avons besoin de nouveaux adhérents dans les territoires, pour amplifier nos actions, alors n’hésitez pas à nous rejoindre.

 Association Territoires Nouvelle-Aquitaine

23 avenue Georges Clemenceau APPT B210

33150 CENON

 

Tel :06 26 66 20 07

 

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Site Internet : https://territoiresnouvelleaquitaine.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/ASSOCIATIONTNA 

Twitter : https://twitter.com/TerritoiresNou

Les Fleurs d’Ail Marinées de Thibaut Mathé

Thibaut Mathé, jeune agriculteur passionné de la région de Niort (Saint-Liguaire), a su séduire les palais des gourmets avec un produit original et rare en France : les fleurs d’ail marinées. Ce condiment, populaire au Québec, a trouvé un nouveau public dans l'Hexagone, notamment grâce à son savoir-faire artisanal et à son goût unique.

L’histoire commence en 2009, lors d’un voyage de Thibaut au Québec, où il découvre par hasard la fleur d’ail, un produit alors peu connu en France. Il est immédiatement séduit par sa saveur douce et raffinée, bien différente de l’ail commun, souvent trop fort pour certains palais. Inspiré, il décide de ramener cette idée dans sa région natale et de tenter l’expérience. Dans le jardin familial, au cœur du Marais Poitevin, il commence à cultiver la fleur d’ail.

La fleur d’ail est une tige tendre, récoltée au printemps, juste avant la floraison de la plante. Pour obtenir un produit de qualité, Thibaut procède à une sélection minutieuse : il ne garde que les tiges les plus tendres, qu'il hache finement avant de les mariner dans de l'huile de tournesol et une pointe de sel. Ce processus artisanal permet de conserver toute la subtilité de la saveur de la fleur d'ail, qui est à la fois douce, légèrement piquante, et d'une grande finesse.

Le succès ne tarde pas à venir. Ce produit, à la fois surprenant et polyvalent, se déguste avec une grande variété de plats : du fromage frais aux salades vertes, en passant par l’avocat, la tomate, les pâtes grillées, ou encore des poissons et même des anchois. Sa saveur intense, mais facilement digestible, plaît à un large public, et c'est ainsi que la fleur d'ail marinée de Thibaut s’installe peu à peu sur les étals des marchés et dans les épiceries fines locales, notamment à Niort, Saint-Maixent et Poitiers.

Une reconnaissance bien méritée : Le Coq d'Or 2019

En 2019, la reconnaissance de son travail arrive sous la forme d’un prestigieux prix gastronomique : le Coq d'Or décerné par le Guide des Gourmands. Ce prix, qui récompense les meilleurs produits du terroir, souligne l’authenticité et la qualité exceptionnelle des fleurs d’ail marinées de Thibaut Mathé. Cette distinction permet de propulser son produit à un nouveau niveau de notoriété.

« Quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer », telle est la réaction commune des clients. La fleur d’ail marinée a su séduire de nombreux gourmets grâce à sa polyvalence en cuisine et à sa capacité à sublimer les plats les plus simples comme les plus raffinés. Que ce soit avec des produits frais comme du fromage ou des légumes, ou des plats plus élaborés, elle trouve toujours sa place.

Malgré des difficultés climatiques en 2019, où Thibaut a perdu une grande partie de sa récolte, la qualité du produit n’a jamais faibli. La rareté de cette fleur d’ail et le travail minutieux qu’elle demande en font un produit recherché, souvent en rupture de stock à la fin du printemps.

Aujourd’hui, Thibaut Mathé continue de développer son activité, tout en gardant l’esprit artisanal qui fait le succès de ses fleurs d’ail. Les clients peuvent se procurer ses produits dans le réseau plaisir fermier, du mardi au samedi, ou encore par expédition sur commande.

Un petit plaisir à découvrir

Thibault Mathe Fleurs dailPour les amateurs de nouvelles expériences culinaires, les fleurs d’ail de Thibaut Mathé sont un véritable coup de cœur. Vendues en pots de 90 grammes au prix de 5,50 €, elles offrent une façon simple et savoureuse d’agrémenter une multitude de plats. Que vous soyez un fin gourmet ou un amateur de produits du terroir, ce condiment exceptionnel mérite d’être découvert. Et si vous n'avez pas encore eu la chance de goûter à cette délicatesse, n’attendez plus : une fois essayée, elle ne quitte plus la cuisine !

 

 

 

Plus d'informations : https://la-regalade-niort.com/

 

Isabelle Peroche