Isabelle Sallaberry a installé la Ferme Bacquet à Orègue en 2011 avec son compagnon. Ce sont 180 brebis laitières qui constituent l'activité principale, avec la production de fromages et de charcuterie. Parmi le catalogue de produits de cette exploitation en autonomie alimentaire (grâce à 24 hectares de production uniquement en herbe), figure le Breuilh.
Fabriqué à partir du lait de brebis, le breuil (greuil / brousse) fermier est un produit laitier frais, naturel et délicat.
Le breuil fermier est fabriqué avec le petit lait issu de la fabrication du fromage de brebis Ossau Iraty. Produit en petites quantités, le breuil fermier est disponible uniquement pendant la saison laitière, de décembre à juillet.
Le breuil fermier se déguste nature, sucré (miel, confitures, coulis de fruits), avec du café ou dans des préparations salées (tapas, pâtes, tartes).
Le breuil fermier est fabriqué avec le petit lait issu de la fabrication du fromage de brebis Ossau Iraty. Produit en petites quantités, le breuil fermier est disponible uniquement pendant la saison laitière, de décembre à juillet.
Le breuil fermier se déguste nature, sucré (miel, confitures, coulis de fruits), avec du café ou dans des préparations salées (tapas, pâtes, tartes).
« D'abord, il faut parler du lait de brebis que l'on transforme en fromage. On en sort le petit lait, ou lactosérum, que l'on valorise en faisant un deuxième fromage, le Breuilh. On en produit de février à août. Il y a le goût spécifique du fromage d'antan, avec du fruité et de l'assiduité, cela variant selon les pâturages. C'est valorisant, même si cela demande du temps », décrit l'agricultrice.
Pour visiter la ferme Bacquet à Orègue près de Saint-Palais (Pyrénées-Atlantiques) https://www.ossau-iraty.fr/etape/ferme-bacquet
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C'est en 2013 que David Pouyadoux a repris la pâtisserie Le Croquembouche à Saint-Yrieix-la-Perche, un établissement créé en 1984 et dans lequel il a été apprenti puis ouvrier. Et parmi ses produits à succès, l'un d'eux est une évidence : la madeleine. Produit phare de la ville, les légendes font référence à une recette plus que centenaire, inscrite au patrimoine local.
Alors que ce produit veut s'inscrire dans la modernité, et s'associe avec du chocolat, de la pomme..., ses fondements restent inchangés. Le pâtissier y tient : « C'est un produit facile à transporter et à conserver, un petit plaisir accessible à tous, léger, moelleux, avec cet équilibre qu'apporte l'amande amère. Offrir un paquet, c'est un gage de qualité et de respect », estime-t-il.
https://www.le-croquembouche.fr/

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Les premières asperges des sables des landes pointent déjà le bout du turion !
Les 60 producteurs engagés dans l 'IGP (Indication Géographique Protégée) s 'apprêtent à récolter les 3500 tonnes d’asperges qui seront commercialisées en France mais aussi en Europe et notamment celle du nord ; ils en sont très friands
L’asperge a trouvé un terrain très favorable dans les Landes grâce aux sols sableux qui compose une grande partie du département et notamment la partie qui longe la côte landaise
C'est grâce à ces sols légers et qui se réchauffent rapidement que la récolte est précoce permettant d’être les premières sur les marchés dès le début mars et jusqu'aux tout derniers jours du mois de mai
Le savoir-faire des producteurs permet de garder à l’asperge toute sa fraicheur, sa blancheur (elle garde la couleur blanche si elle n’est pas en contact avec la lumière avant la récolte). La récolte est entièrement manuelle
Gorgée de vitamines riche en fibres et très légère en calories l’asperge des sables des Landes est le premier légume de printemps
http://www.qualitelandes.com/asperge-des-sables-landes/

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Relancée dans les années 1980 alors qu'elle était en danger, la race bovine Maraîchine vit aujourd'hui de beaux jours, avec une centaine d'éleveurs et 2000 mères. Parmi les acteurs travaillant à sa valorisation, la ferme expérimentale de l'INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'alimentation et l'Environnement) à Saint Laurent de la Prée (17).
Claude Chataigner, le chef d'exploitation, se réjouit de ce regain de forme. « Elle rassemble toutes les thématiques de notre site : la valorisation des marais sur la façade Atlantique, le local, le système agroécologique dans lequel on s'inscrit », résume-t-il. L'association pour la valorisation de la race bovine Maraîchine et des prairies humides a été un facteur structurant.
L'intérêt est de taille. « Cela contribue au maintien d'un patrimoine génétique, avec cette race locale, physique, avec l'entretien et la valorisation des prairies des marais, et sauvage, avec les populations d'oiseaux migrateurs et la biodiversité dans les marais », expose Claude Chataigner. Beaucoup de qualités pour cette race rustique, qu'il reste à mieux valoriser.
Maraichine« C'est une race adaptée à son territoire (climat, sol, productions fourragères des marais), et qui demande peu d'intervention. Elle n'est pas dans les standards de conformation de la viande, elle a une bonne tendreté et est assez maigre, on veut la valoriser en vente directe. Le veau, élevé dehors avec la mère, produit une viande rosée et non blanche », termine le chef d'exploitation.

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