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Goût de cœur 2023: Ferme Enautenea Famille Tambourin

Leur Histoire

La ferme Enautenea est présente sur la commune de Saint-Etienne de Baïgorry, dans le Pays-Basque intérieur depuis le XVIIIe siècle. C’est une grande maison d’habitation de type bas-navarraise. La famille Tambourin, propriétaire de l’exploitation, s’est transmise la maison et le corps de ferme de génération en génération.

Goût de coeur sentinelles du goût de l'IGNA : qui seront les lauréats

Des délices culinaires de la Nouvelle-Aquitaine prendront le devant de la scène le 19 janvier 2024 à l'Hôtel de Région Nouvelle-Aquitaine. Chaque année, depuis 2020, l’Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine sollicite les étudiants de la licence professionnelle Valorisation, Animation et Médiation des Territoires de l’Université de Bordeaux Montaigne, pour organiser l'événement Sentinelles du Goûts de l’IGNA. Thibault, Issan et Nathan, étudiants, présenteront les lauréats Goût de cœur Sentinelles du goût de l’IGNA 2024.

Gout de coeur 2024 logo

Cet événement prestigieux vise à célébrer des artisans passionnés et des acteurs locaux qui redoublent d'efforts pour préserver et magnifier le riche patrimoine culinaire régional.

La Nouvelle-Aquitaine est une région riche en spécialités culinaires et traditionnelles. L’objectif est de sensibiliser le grand public à son patrimoine culinaire mais également de valoriser les savoir-faire et les produits traditionnels, notamment ceux qui sont menacés.

L'hôtel de région Nouvelle-Aquitaine accueillera cet événement, le 19 janvier 2024 à partir de 9h00 jusqu’à 12h.

Voici les critères de sélection pour les professionnels Goûts de cœur 2024 :

  • Une fabrication qui s'inscrit dans le territoire.
  • Une fabrication traditionnelle ou innovante.
  • Une logique de savoir-faire et une authenticité du produit.
  • Respect de l’environnement.
  • Pas d’altération du goût : peu d'additifs et/ou de conservateurs, un juste équilibre du sucre et du sel.

Les professionnels Goûts de cœur 2023 qui ont été récompensés l'année dernière sont les suivants :

Goûts de coeur 2023 Lauréats

 

   - La ferme de Bérénice d’Arveyres (Gironde)
   - Ferme Enautenea de Saint-Etienne de Baïgorry (Pyrénées-Atlantiques).
   - Domaine de Rapatelle de Villefranche-du-Périgord (Dordogne).
   - Restaurant Euzkadi d’Espelette (Pyrénées-Atlantiques).
   - Ferme de Cabestan de Sainte-Terre (Gironde).

 

Durant l’événement, les professionnels Goûts de cœur 2024 vous seront présentés. Des dégustations de leurs produits vous seront proposées afin de favoriser des échanges autour de la valorisation des pratiques et des savoir-faire en Nouvelle-Aquitaine.

Goûts de cœur 2023 : la Ferme de Cabestan

Goûts de cœur 2023 : la Ferme de Cabestan

Leur Histoire

Sabine et David Copie

Sabine issue du monde de l'insertion professionnelle et David pécheur de père en fils. En 1994, ils ont décidé ensemble d'entreprendre l'aventure de la Cabane du Cabestan suite à la rénovation de leur maison. Depuis la création de leur activité, la ferme s'est rapidement développée. En effet, des salariés ont rejoint l'aventure afin de soutenir Sabine et David dans leur emploi du temps charge, et la ferme a quant à elle, vu son activité se multiplier. Elle est ainsi devenue un lieu de restauration durant l'été à partir de 2015, mais elle est également devenue une ferme pédagogique pouvant accueillir des scolaires comme des particuliers.

 

 

Leurs produits

ProduitsDavid et Sabine Durand vous y accueillent à l'année pour vous faire découvrir un mets gastronomique aussi local qu'ancestral : la lamproie à la Bordelaise. Dégustée depuis l'antiquité, elle est le plat favori de Rabelais, la lamproie était servie sur les tables royales d'Angleterre. La Cabane du Cabestan propose également des produits tels que des rillettes de Lamproie ou de Silure, mais encore du Silure préparé façon Rougail.

 

Leur Savoir-faire

La ferme du pêcheur propose de découvrir gratuitement la tradition de la pêche à la lamproie sur la Dordogne, aux filets dérivants ou aux nasses. La saison de la pêche se déroule ici, de décembre à la mi-mai. Durant la saison estivale, ils proposent également un service de restauration dans lequel la lamproie, silure et anguille sont cuisinés. Des initiations à la cuisine de ces poissons d'eau douce sont proposées pour faire découvrir au public ce savoir-faire unique. La Cabane du Cabestan a récemment obtenu la labélisation "Ferme Pédagogique", afin de faire découvrir ces poissons étonnants et ce qui pourrait les menacer.

Points de vente

Vente sur place mais aussi en ligne :http://www.lamproie.fr

Autres lieux de vente :

Les jardins de Vymm à Lanton ;

Boulangerie la Pétrisane à Hourtin ;

La Cave la Tulipe à Parempuyre ;

L'Echoppe de la Lune à Bordeaux (rillettes seulement) ;

Office de Tourisme de Saint-Emilion et Libourne ;

Moulin de Porchères (seulement période de production)

Site Internet

http://www.lamproie.fr

Adresse : LD Lavagnac, 2 Route du Port de Peytor, 33350 Sainte-Terre

Téléphone : 06.20.89.41.84

Notre vidéohttps://youtu.be/oakAN13H8Mk

Kintoa et Écusson noir, mêmes messages

Lors du Salon de l’Agriculture ont été présentés sur le stand de l’IGNA 2 jambons issus de deux races locales porcines, le porc basque (AOP Kintoa) et le porc cul noir limousin (Ecusson noir). Ces porcs de famille ibérique sont élevés en plein air.

A cette occasion, Alexandre Bigot (Ets Pierre Oteiza Kintoa AOP Porc basque), et Mickaël Delanotte, (l’Écusson noir-Porc cul noir Limousin) membres de l’Académie des jambons secs, ont expliqué au public la façon de couper un jambon. Des dégustations ont permis de rechercher les différences gustatives.

                                                                                 Alexandre Bigot Copie   Michael Delanotte Copie  

                                                                                   Alexandre Bigot             Mickaël Delanotte

En savoir plus :

sur le Kintoa 

Sur l'Écusson noir

L'IGNA à la Fête des Vendanges de Léognan

L’institut du goût Nouvelle-Aquitaine a répondu à l’invitation de la Ville de Léognan et de la Confrérie de la mauguette pour tenir un stand lors de la fête des vendanges et de la Duragne qui s’est déroulée à Léognan le samedi 2 octobre 2021 de 9h 00 à 13 h 00.

L'IGNA animait un stand et proposait aux visiteurs volontaires un atelier de dégustation autour du fromage  de brebis AOP Ossau-Iraty:

Etaient proposés à chaque participant deux fromages AOP Ossau-Iraty sans indication

  • Un fabriqué avec du lait pasteurisé
  • Un fabriqué avec du lait cru

La participant devait trouver la différence et reconnaitre le fromage au lait cru. Il donnait sa réponse sur un formulaire pré imprimé avec nom et adresse mail.

Le dégustateur répondant correctement en reconnaissant le fromage au lait cru gagnait un cadeau offert par le Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine (Chapeau ou tablier ou T-shirt).

Nombre de dégustateurs : 26

Nombre dégustateurs gagnants : 19

Cette opération avait pour but de renforcer le fondement de communication qui anime l’IGNA :

« L’acte de manger est un acte citoyen ». La dégustation, donc le goût peut permettre de comprendre ce qui est en amont du produit ce qui dans le cas présent est soit une usine, soit un berger. Après chacun est libre de consommer ce qu’il préfère mais en connaissance de cause.

Cette expérience encourageante sera reconduite par l’IGNA. Nous attendons des propositions et suggestions.

L’IGNA remercie la Ville de Léognan et la Confrérie de la Mauguette pour leur accueil

 

L'IGNA à la Fête des Vendanges de Léognan

L’institut du goût Nouvelle-Aquitaine a répondu à l’invitation de la Ville de Léognan et de la Confrérie de la mauguette pour tenir un stand lors de la fête des vendanges et de la Duragne qui s’est déroulée à Léognan le samedi 2 octobre 2021 de 9h 00 à 13 h 00.

L'IGNA animait un stand et proposait aux visiteurs volontaires un atelier de dégustation autour du fromage  de brebis AOP Ossau-Iraty:

Etaient proposés à chaque participant deux fromages AOP Ossau-Iraty sans indication

  • Un fabriqué avec du lait pasteurisé
  • Un fabriqué avec du lait cru

La participant devait trouver la différence et reconnaitre le fromage au lait cru. Il donnait sa réponse sur un formulaire pré imprimé avec nom et adresse mail.

Le dégustateur répondant correctement en reconnaissant le fromage au lait cru gagnait un cadeau offert par le Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine (Chapeau ou tablier ou T-shirt).

Nombre de dégustateurs : 26

Nombre dégustateurs gagnants : 19

Cette opération avait pour but de renforcer le fondement de communication qui anime l’IGNA :

« L’acte de manger est un acte citoyen ». La dégustation, donc le goût peut permettre de comprendre ce qui est en amont du produit ce qui dans le cas présent est soit une usine, soit un berger. Après chacun est libre de consommer ce qu’il préfère mais en connaissance de cause.

Cette expérience encourageante sera reconduite par l’IGNA. Nous attendons des propositions et suggestions.

L’IGNA remercie la Ville de Léognan et la Confrérie de la Mauguette pour leur accueil

 

L'IGNA au Salon de l'Agriculture de Bordeaux

L’Institut du Goût Nouvelle-Aquitaine animait un du 21 au 29 mai au Salon de l’Agriculture de Nouvelle-Aquitaine au Parc des Expositions Hall 4. Il a réuni sur son stand les partenaires suivants :

Slow Food Nouvelle-Aquitaine

Institut Jean Errecart de Saint-Palais (Pyrénées-Atlantiques)

Association AGA Anti Gaspi Aquitaine

L'IGNA au Salon de l'Agriculture de Bordeaux. Venez nous voir

L’institut du Goût Nouvelle-Aquitaine (IGNA) aura un stand au Salon de l’Agriculture Nouvelle-Aquitaine (SANA) du 13 au 21/05/2023.

L’objectif pour l’IGNA est de communiquer vers le grand public sur la notion :

Manger est un acte citoyen et culturel

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Il s’agit de permettre au grand public de comprendre les conséquences en amont et en aval de son acte d’achat alimentaire : Environnementales, sociales, structurations commerciales, aménagement du territoire et santé.

Pour rendre accessible ces notions l’IGNA proposera des jeux sous forme de dégustations comparatives de produits de la même famille mais d’origine et mode de fabrication différents.

 

 

 

3 TEMPS FORTS

Lundi 15 mai : Manifestation pour fêter les 20 ans de la venue des confréries au Salon de l'Agriculture autour d'un gâteau basque préparé par un ambassadeur de la Confrérie du Gâteau Basque de Cambo-les Bains. Sera présente une diététicienne d'Interfel (Interprofession Fruits et Légumes) qui animera autour d'un fruit de saison, la fraise.

Mardi 16 mai : La Nouvelle-Aquitaine compte 3 des 6 races porcines locales, le Porc basque, le porc cul noir Limousin et le porc gascon. 2 races seront présentées avec la présence des représentants de l’Écusson noir (Porc Cul Noir Limousin) et Le Jambon de Kintoa AOP (Porc Basque).

L’IGNA organisera des dégustations comparatives. A cette occasion Alexandre Bigot (Ets Pierre Oteiza Porc basque Kintoa AOP) et Mickël Delamotte (Ecusson noir Porc cul noir Limousin), Membres de l’Académie des jambons secs, feront des démonstrations de découpe de jambon.

Mercredi 17 mai Lancement de l’antenne régionale de la Fondation de la biodiversité fromagère.

La Fondation Lait cru et l’Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine (IGNA) ont le plaisir de vous informer du lancement de l’antenne régionale de la Fondation Lait cru en Nouvelle-Aquitaine qui se tiendra le mercredi 17 mai De 10h30 à 11h00 au Salon de l’agriculture de Bordeaux.

Pour en savoir plus : ici

Adresse mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

 

ATELIERS DÉGUSTATIONS

Pour rendre accessible ces notions l’IGNA propose des jeux sous forme de dégustations comparatives de produits de la même famille mais d’origine et mode de fabrication différent.

4 ateliers animés en rotation pendant la durée du salon :

   Fromage Ossau-Iraty :

     - Lot 1 : fabriqué avec du lait pasteurisé

     - Lot 2 : fabriqué avec du lait cru

   Salaison :

     - Lot 1 : jambon de Savoie

     - Lot 2 : jambon Kintoa ou Cul Noir Limousin

    Fruits et légumes :

     - Panier de produits de saison et de proximité avec un intru à découvrir

Les gagnants auront un lot cadeau après un échange sur les conséquences de leur choix alimentaire et pourront s’inscrire à la newsletter de l’IGNA.

    Pesée d'un jambon

Les visiteurs pourront également jouer au jeu de la pesée du jambon. Le gagnant du ljambon sera celui qui sera le plus proche du poids.

VENEZ NOUS RETROUVER HALL 4 DU PARC DES EXPOSITIONS ALLÉE CENTRALE

 Nos partenaires au Salon

  • Connseil Régional de Nouvelle-Aquitaine
  • L'AANA (Agence Alimentation de Nouvelle-Aquitaine
  • ETS Pierre Oteiza
  • Maison Gastellou de Saint-Jean-le-Vieux
  • Entreprise Kiriel Dubourg de Pessac

  Remerciements au Salon de l'Agriculture de Bordeaux qui nous offre notre stand.

Jean-Baptiste Casenave

L'opération Sentinelles du Goût de l'IGNA revient en 2023 !

Faites nous connaître les producteurs, les artisans, les restaurateurs, les entreprises près de chez vous qui, par leur travail, préservent des savoir-faire, valorisent des produits et des recettes typiques, s'inscrivent dans des démarches vertueuses vis-à-vis de l'environnement et du patrimoine au sein de leur territoire, participent à la défense du goût dans la tradition ou l'innovation.

L’IGNA à la journée alimentation durable régionale !

Le mercredi 13 mars dernier, au lycée Jean Monnet de Libourne, la Région Nouvelle-Aquitaine organisait pour la 6e année consécutive la journée alimentation durable, en partenariat avec la DRAAF(Direction Régionale de l’Alimentation de l’Agriculture et de la Forêt) et les 3 Rectorats de Bordeaux, Limoges et Poitiers.

Cette journée a été organisée pour rassembler et faire réfléchir autour de thématiques. Cette année, les 2 thématiques, dites « parcours » ont été arrêtées : une restauration qui valorise et réduit les biodéchets ET une restauration tournée vers l’avenir.

Journee etuduiante stand

A cette occasion, près de 25 délégations étaient venues de toute la région, soit plus de 120 personnes. Elles étaient composées d’élèves, d’enseignants, de personnels de cuisine de lycées généraux et professionnels pour participer à des mini conférences autour des biodéchets, de la cuisine de légumineuses, de la cuisine zéro déchet, et de la sensibilisation à l’alimentation au travers des réseaux sociaux, etc.

 La Région avait invité des acteurs pour animer le « village », tels que le Centre de Ressources d’Ecologie Pédagogique Nouvelle-Aquitaine (CREPAQ), le Réseau Compost Citoyen (RCCN), Interbio Nouvelle-Aquitaine, une exposition sur l’alimentation durable provenant de l’Ecomusée Montmorillonnais, le Conseil Régional des Jeunes (CRJNA) et l’Institut du Goût Nouvelle-Aquitaine. Chacune de ces structures a ainsi fait participer les membres des délégations à des ateliers pour faire connaître leur activité et partager une réflexion sur l’alimentation durable d’aujourd’hui et de demain.

Isabelle PEROCHE

La Ferme de Bérénice : Goût de cœur 2023

Son histoire

Issue d'une famille de viticulteurs mais préférant faire de sa passion un métier, Bérénice Walton a ouvert sa ferme en avril 2011.

Depuis plus de 10 ans, Bérénice, cheffe d’exploitation, gère le fonctionnement de sa ferme, spécialisée dans l’élevage du Bœuf Gras Bazadais.

La Journée de la Pêche durable

L'IGNA (Institut du Goût Nouvelle-Aquitaine) et le CRPMEM (Comité Régional des Pêches Maritimes et des Elevages En Mer) ont organisé le 15 avril dernier, à Arcachon, une journée consacrée à la pêche.

Le littoral Atlantique, Manche et mer du Nord produit 2 745 950 tonnes de poissons et coquillages par an (chiffres 2020). C'est dire l'importance de cette ressource dans notre alimentation.

Depuis près de 20 ans la filière pêche s'est approprié l’idée qu’il faut la protection de la ressource halieutique et la nécessité d'une distribution en circuit court. Cette pêche durable est proche des engagements de l'IGNA qui est profondément acquis à l'approche responsable et citoyenne de nos consommations.

La magie des vendanges a opéré

L’Institut du goût de Nouvelle-Aquitaine organisait une exposition de volailles de la Ferme du bleu, de la Ruche des apiculteurs Christine et Hervé Toussaint et de vaches de la race bordelaise de l’éleveur léognanais (en agriculture biologique) Christophe Guénon. À cette occasion, une convention a été signée entre le maire, Laurent Barban, et Anne-Marie Cocula, présidente de l’Institut du goût, en présence du président de la Région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset et d’Arlette Piet, présidente de l’office municipal socioculturel.

La plus grande ferme de France installée à Paris

Cette année, le salon international de l’agriculture (SIA) a ouvert ses portes ce samedi 24 février et fermera le dimanche 3 mars. L’occasion pour les visiteurs parisiens mais également venus de toute la France, de rencontrer, d’échanger avec les éleveurs, les cultivateurs, les professionnels de l’agriculture en général.

Quelques chiffres !

Le salon de l’agriculture, c’est 1448 éleveurs/ses en activité et en retraite, 1108 exposants venus faire découvrir leurs spécialités, vendre leurs produits ou restaurer les visiteurs. Il faut également noter la présence de très nombreux lycées professionnels et de leurs élèves.

C’est environ 2500 animaux : veaux, vaches, cochons, agneaux, poules, etc, représentés. Pour la petite histoire, durant le salon, c’est en moyenne 10.000 L de lait qui est produite chaque jour par les vaches présentes au SIA.

Ce sont au moins 378 races qui sont valorisées au travers de nombreux concours d’animaux mettant en valeur les qualités génétiques et bouchères des animaux présentés avec fierté et passion par leurs éleveurs/ses, parfois des familles d’agriculteurs.

C’est aussi la tenue du Concours Général Agricole qui existe depuis 150 ans. L’occasion sera donnée aux jurés inscrits de déguster des produits issus de 19 catégories parmi lesquels : vins, fromages, huiles de noix, produits d’aquaculture, poirés, épices, volailles, viandes, etc et tous les alcools (Cognac, Gin, Whisky, …). Leur slogan : « le goût avant tout ».

Parlons un peu de l’IGNA sur le SIA...

Pour la 1e année, l’association était représentée le 1er week-end par Laurent Le Chevallier et Marie Pendanx sur l’invitation de l’AANA pour y faire des animations-dégustations.

Ces animations permettaient dans le contexte actuel, d’échanger avec le public, de l’interroger sur son alimentation et bien sûr de déguster des produits. Des animations qui tombaient à pic pour expliquer au visiteur citoyen pourquoi il est nécessaire de s’interroger sur la fabrication des produits qu’ils consomment. La possibilité de toucher un autre type de public et de l’inviter à visiter le site internet de l’IGNA.

                                                   IGNA au SIA 2024               SIA Stand IGNA Marie Pendanx

Quelques actions à relever sur le salon

Dans le hall 1, la part belle est faite aux animaux et notamment la valorisation des 4 races bovines emblématiques de la région : Bazadaise, Blonde d’Aquitaine, Limousine et Parthenaise sur le stand Région Nouvelle-Aquitaine.

L’Agneau du Poitou-Charentes s’est installé dans un espace dédié pour accueillir ses éleveurs et partenaires. Les acteurs porcins de Nouvelle-Aquitaine, eux, ont imaginé un bar à jambon et saucissons où sont valorisés Porc Cul noir, Kintoa notamment. De l’autre côté de la halle, c’est la filière Ossau-Iraty et Agneau de lait Pyrénées qui s'est installée sur le stand des races de montagne, l’occasion pour eux de faire déguster et vendre leurs produits.

Mais les choses ne s’arrêtent pas là car c’est dans le hall 3 que les choses impressionnent, la région Nouvelle-Aquitaine étant représentée sur plus de 1500m2. En fer de lance, des départements comme le Lot-et-Garonne, la Corrèze, ont choisi de créer un stand pour valoriser tant le tourisme, que les produits, la gastronomie, souvent au travers de dégustations, recettes et ventes. De quoi pour les parisiens venir recharger leurs batteries au son des bandas, des chansons locales et de faire le plein de victuailles…

Mais ce n’est pas tout, tous les territoires y ont été représentés au travers de nombreuses entreprises, telles que les tourteaux fromagés Jahan, la bière Akerbaeltz, la Ferme de Louis qui réalise des produits transformés à base de viande bovine, les Perles de Gascogne, ainsi qu’une très grande diversité de Cognac et de Pineau des Charentes... et tant d’autres… On ne peut tout citer.

Des filières se sont également organisées pour être présente de manière collective avec la Route des Fromages de chèvre de Nouvelle-Aquitaine, présente avec des producteurs et les Viandes Limousines avec leur FOOD TRUCK. Pour compléter c’est d’ailleurs dans le Hall 6 que la filière chevaline et mulassière notamment en provenance des Deux-Sèvres ont présenté leurs animaux dans des démonstrations.

 

Vous avez encore quelques jours pour en profiter à la porte de Versailles. Espérons qu’au terme de ce salon 2024, le score de 615 204 visiteurs de l’an dernier sera battu…

Pour en savoir plus : https://www.produits-de-nouvelle-aquitaine.fr/uploads/2024/02/AANA_DossierPresse_2024-bd-page-a-page-sans-t-coupe-1.pdf

Isabelle Peroche

Lancement de l'Antenne régionale de la Fondation lait cru

La Fondation Lait cru et l’Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine (IGNA) ont le plaisir de vous informer du lancement de l’antenne régionale de la Fondation Lait cru en Nouvelle-Aquitaine qui se tiendra :

Le mercredi 17 mai De 10h30 à 11h00

Sur le plateau Agriweb TV

Au Salon de l’agriculture de Bordeaux

                      LOGO IGNA Lettre              Logo Fondation lait cru           logo Fondation de France 400x200V2

Programme

   Introduction par M. Jean Pierre RAYNAUD, Vice-président chargé de l'Agriculture, de la Transition agro-écologique, de l'agroalimentaire, de la forêt, la mer, la montagne à la Région Nouvelle-Aquitaine

Présentation de l’antenne régionale Nouvelle-Aquitaine de la fondation lait cru par M. Arnaud Sperat Czar, président de la Fondation et directeur en chef de profession fromager

Témoignages des producteurs de la région sur l’intérêt de défendre et développer les produits au lait cru dans les productions laitières de Nouvelle-Aquitaine. : 

Dans la filière des fromages de chèvre au lait cru de Poitou-Charentes par M. Paul Georgelet, producteur fermier en AOP Chabichou du Poitou et Mothais Sur Feuille et M. Guillaume Ribadière, directeur de la coopérative CLS producteur artisanal d’AOP Chabichou du Poitou et de Mothais Sur Feuill

Dans les filières des fromages au lait cru des Pyrénées Atlantiques par M. Jean Michel BARREIX, producteur fermier transhumant et en AOP Ossau Iraty,

Dans la filière du beurre au lait cru par M. Daniel Arlot, directeur de la coopérative Pamplie

Les qualités gustatives et santé des produits laitiers au lait cru de Nouvelle-Aquitaine par Pol LE MENS de l’institut du Goût Nouvelle-Aquitaine (IGNA)

 

Ce colloque sera suivi sur le stand IGNA & AANA (Agene d'Alimentation de Nouvelle-Aquitaine) à 11h15 par :

  • Une présentation et dégustation d’un magnifique plateau de 100 fromages et beurres au lait cru de toute la région Nouvelle-Aquitaine
  • Un moment unique et inoubliable

Contact : IGNA : Laurent LE CHEVALLIER Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Tel : 06 26 20 14 14

Lancement de l’antenne régionale de la fondation au lait cru

L’organisation d’une conférence, lors du salon de l'agriculture de Bordeaux a permis le lancement de l'antenne régionale de la fondation pour la biodiversité fromagère. A l’issue de cette conférence, les participants se sont retrouvés autour de plateaux de fromages pour des travaux pratiques.

Les intervenants de la conférence furent :

 2021 06 24

De gauche à droite : Arnaud Sperat-Czar, Paul Georgelet, Jean-Michel Barreix, Frédéric Servat, Paul Le Mens, Daniel Arlot, Guillaume Ribabière, Jean-Pierre Raynaud

Arnaud SPERAT CZAR, président de la fondation au lait cru et rédacteur en chef de "profession fromager" https://www.professionfromager.com/

Paul GEORGELET, producteur fermier AOP Chabichou du Poitou et Mothais sur Feuille. https://www.paulgeorgelet.fr/

Guillaume RIBADIERE, directeur de la Coopérative laitière de la Sèvre. https://sevre-belle.fr/

Jean-Michel BARREIX, producteur fermier transhumant et en AOP Ossau-Iraty. https://www.ossau-iraty.fr/

Daniel ARLOT, directeur de la coopérative laitière Pamplie. https://www.laiteriedepamplie.com/

Frédéric SERVAT, fromager à Gujan-Mestras et représentant de la Fédération des Fromagers de France. https://maisonservat-commande.fr/#/commande-en-ligne/bons-plans/nos-produits

Paul LE MENS, Institut du Goût Nouvelle-Aquitaine

Pour voir la conférence c’est ici

Le Champs des Echos : Goût de coeur 2022

Le Champ des Échos est une ferme située à Casseneuil (Lot-et-Garonne) qui met en valeur les produits du jardin, en les cuisinant à la ferme sans colorants ni conservateurs. Ces producteurs proposent de nombreux produits tels que des confits d’oignons, tartinades, coulis de tomates, ketchups ou vinaigres aromatisés.

 

LEUR HISTOIRE

Ferme des Echos Axel et SarahNous parlerons ici d'Axel Garrison et de sa femme, Sarah Tosololini. En 2019 ils se sont installés sur la ferme, mais ils étaient dans le secteur agricole depuis un peu plus longtemps, grâce à plusieurs emplois éphémères. Tous deux étaient animés par l'envie de trouver un coin où se poser, et c'est quand l’opportunité de la ferme s’est offerte à eux, que cela a été une évidence. La ferme se situe dans un lieu reculé mais possède un vaste espace. Nos deux fermiers, issus d'un BTS Gestion et Protection de la Nature, se sont rendu compte que, s’ils voulaient préserver l’environnement, c’est sur le milieu agricole qu’il fallait se concentrer. La motivation vis-à-vis de ce métier résulte donc pour eux de leur parcours scolaire, mais aussi de l’envie de travailler dehors, d’être indépendants, et de faire quelque chose "qui a du sens". L'agriculture pour eux, correspond à leurs valeurs.

Ils souhaitent travailler seuls, car les coopératives leur imposent trop de contraintes. Ainsi ils sont en adéquation avec leurs convictions. Ils ont choisi la vente à la ferme et sur les marchés. Le rythme de travail est très variable en fonction des conditions climatiques et de la saisonnalité des produits.

 

Pour se faire connaitre ils se sont fait répertorier dans les offices de tourisme. Ils ont aménagé également une aire de camping-car et comptent sur le bouche-à-oreille lors des marchés, en discutant avec les clients par exemple.

LE KETCHUP

Ketchup

Au niveau des ingrédients présents, la part de la tomate, qui a subi un tri à la main, est la plus importante.

Sa composition comprend du sucre, du vinaigre de cidre, auxquels on ajoute des aromates tels que le céleri, l'oignon ou des épices par exemple, mais sans inclure de conservateurs, puisque le vinaigre et le sucre remplissent déjà ce rôle.

Ils se sont inspirés d’une recette traditionnelle, qu'ils ont adaptée afin de faire le produit qu'ils souhaitaient.

 

LE GAEC

Dans ce coin un peu isolé des terres de Casseneuil, le GAEC Le Champ des Échos s’étend sur 11 hectares de parcelles dont 1,5 hectare pour le parc aux oies et 3000 m2 de légumes. Le reste est en prairie et pâturage, avec une parcelle réservée aux abeilles.

L’objectif de Sarah et d’Axel est que cette organisation soit respectée, car ils souhaitent favoriser la préservation de la biodiversité. Ils essayent aussi de faire des fauches un peu plus tardives et prennent soin de leur bois et du paysage qui les entourent.

Leur particularité réside dans le fait de produire, de transformer et de commercialiser sur place !

OÙ LES RETROUVER ?

Les horaires de pleine saison commencent à 15h30 à la ferme et hors saison se font sur rendez-vous. On peut également retrouver leurs produits sur leur site internet et sur les marchés de Casseneuil, le dimanche matin, et à Eymet, le jeudi matin.

"Faire quelque chose qui a du sens !"

https://www.lechampdesechos.fr/

Les Jardins de l’Aubreçay Goût de coeur 2024 : Un Havre Alimentaire Bio et Solidaire à La Rochelle

Les Jardins de l’Aubreçay incarnent un lieu singulier dans le paysage alimentaire de l'aire urbaine de La Rochelle, contribuant au Projet Alimentaire de Territoire, un projet d'envergure régionale pour la Nouvelle Aquitaine.

Au cœur de cette initiative se trouvent Les Maraîchers de l’Aubrecay, jouant un rôle clé dans ce tiers-lieu alimentaire en collaborant étroitement avec un ESAT local. Leur objectif ? Créer une gamme de produits transformés biologiques destinés à la grande distribution. Fondée en juin 2021, cette Société Civile d’Exploitation Agricole (SCEA) s'engage dans un maraîchage bio intensif, mettant l'accent sur le compagnonnage des plantes pour maximiser les rendements sur leurs 3 hectares de terrain.

Jardins de lAubrecay Maraichers

En partenariat avec la SCOP Alter Gaïa, ils adoptent un compost de biodéchets local et zéro-carbone, s'inscrivant ainsi dans une démarche résolument écologique. Leur parcelle, conçue selon le principe du verger-maraîcher, se distingue par une large haie d'arbres anciens favorisant la biodiversité. Forts de pratiques agricoles durables initiées dans les années 70, centrées sur la préservation de la biodiversité, ils œuvrent aujourd'hui à la création d'un sol vivant et fertile, riche en micro-organismes.

La gestion responsable de l'eau est également au cœur de leurs préoccupations, avec des choix techniques tels que l'irrigation au goutte-à-goutte et l'utilisation de stations météo pour optimiser leur consommation. En 2022, ils ont utilisé seulement un quart de la consommation moyenne en eau des producteurs français pour produire un kilo de légumes, démontrant ainsi leur engagement en faveur de la durabilité environnementale.

Ces pratiques alignent parfaitement avec les ambitions de transitions sociales et environnementales de la Région Nouvelle Aquitaine, telles qu'énoncées dans la feuille de route NEO TERRA, mettant l'accent sur les ressources naturelles, la solidarité et l'agriculture alimentaire.

Les visages derrière cette entreprise sont variés : Boris George et Mathilde Lacoste en tant que Gérants, Robin George, encadré par la Chambre d’Agriculture, et Lucas Waeles, apprenti en Master II Ingénierie d’Affaires. En période de pointe, la SCEA accueille également des saisonniers et des demandeurs d'asile, dans le cadre de projets d'insertion professionnelle.

Retraçons brièvement l'histoire de ce lieu. En 1916, le terrain est légué avec une obligation d'usage à des fins sociales et agricoles. En 1970, sa gestion est confiée à l'Entraide Protestante, marquant le début d'une aventure qui conduira à la création des premiers magasins Biocoop dans les années 1980. En 1990, un rapprochement avec le réseau Kokopelli illustre leur engagement pour la préservation des semences paysannes.

Les partenariats de la SCEA sont multiples et diversifiés : conventionnée avec le CCAS de La Rochelle et de Nieul/Mer pour la vente à prix réduit et la distribution dans les épiceries solidaires, participant activement aux Programmes Alimentaires de Territoire, collaborant avec des établissements scolaires pour l'accueil de stagiaires et d'apprentis, et prenant part au festival Alimenterre pour sensibiliser sur les enjeux de l'alimentation durable et solidaire.

Jardins de lAubrecay Visuel produits

 

En ce qui concerne leurs produits, ils assurent une production tout au long de l'année avec une variété impressionnante de légumes et de fruits, transformant une partie de leur récolte en jus, sauces et autres délices. Leur mode de commercialisation, principalement en vente directe, souligne leur volonté de maintenir des liens étroits avec leur communauté, tout en alimentant les circuits solidaires locaux.

 

 

Les membres de l’institut du goût de Nouvelle-Aquitaine à l’Espace Mendès France

Une rencontre sur Goûts et terroirs en Nouvelle-Aquitaine s’est déroulée vendredi 2 mars à l’Espace Mendès France en partenariat avec l‘Institut du goût de Nouvelle-Aquitaine et l‘université Bordeaux Montaigne. Cette table ronde a été animée par les étudiants de la licence professionnelle « Valorisation, Animation et Médiation des Territoires Ruraux ».

Une trentaine de personnes était présente dans la salle pour écouter, échanger avec les différents intervenants.

Cette rencontre était organisée dans le cadre de la démarche Créativité et territoires, engagée par l’Espace Mendès France. Cette démarche vise tout au long de l’année, à mettre en relation les territoires et les acteurs de ces territoires, à les informer, à soutenir la mise en œuvre d’une véritable recherche-développement dans ce domaine, afin de susciter les initiatives locales et territoriales. Elle a également pour objectif de faire se rencontrer les réseaux, de créer des synergies et de permettre les échanges au sein d’un territoire.

Les paysages nourriciers : une beauté à préserver, une accessibilité à maintenir

L’Institut du Goût de Nouvelle-Aquitaine évoque parfois les paysages nourriciers, une expression qui pourrait sembler abstrait à première vue, mais qui cache une réalité fondamentale de notre quotidien. Ces paysages, que nous admirons et traversons lors de nos déplacements ou activités de plein air, sont le fruit du travail des agriculteurs et des éleveurs qui, en plus de nourrir la population, façonnent notre environnement rural.

 

La beauté au fil des saisons

Qui n'a jamais été émerveillé devant la diversité des paysages agricoles qui nous entourent ? Chaque saison nous offre une palette de couleurs et de textures différentes : le vert tendre des jeunes pousses au printemps, le doré des champs de blé en été, ou le multicolore des arbres fruitiers en fleurs. Mais ces paysages ne sont pas uniquement le résultat de la nature : ils sont le produit du travail quotidien des agriculteurs qui cultivent la terre, et des bergers qui entretiennent les pâturages.

Les champs de tournesol, par exemple, ne sont pas seulement une image emblématique de la campagne française, ils produisent aussi l'huile que nous utilisons en cuisine, etc… Les vergers en fleurs nous offriront les fruits que nous consommerons. Et les troupeaux de moutons et de bovins qui paissent dans les montagnes pyrénéennes jouent un rôle essentiel dans l'entretien des pâturages, rendant possible non seulement l'agriculture, mais aussi les activités de loisirs comme la randonnée et le ski.

 

Pourquoi les Paysages Nourriciers sont-ils essentiels ?

Ces paysages nourriciers ne sont pas uniquement là pour notre plaisir visuel. Ils sont le reflet d'une agriculture active, nécessaire pour assurer notre alimentation. Derrière chaque paysage se cache un agriculteur ou un éleveur qui veille à l'entretien de ces paysages : taille des arbustes et arbres (chênes par exemple), entretien des berges de rivières et ruisseaux, transhumance des animaux dans les champs dès le printemps, etc…

La beauté de ces lieux dépend donc directement de leur travail, de leur savoir-faire et de leur engagement.

Si ces paysages disparaissaient, emportant avec eux les agriculteurs et les bergers qui les maintiennent, que deviendraient nos espaces naturels ? Les prairies non entretenues deviendraient sauvages et impraticables, rendant difficiles les randonnées et autres activités en plein air que nous apprécions tant. Les montagnes, sans les troupeaux pour maintenir les pâturages ouverts, seraient envahies par les broussailles, limitant l'accès aux sentiers et altérant la qualité des pistes de ski.

 

Préserver les paysages nourriciers : un acte citoyen

Vallee de la Dordogne

Vallée de la Dordogne depuis l'esplanade de Domme  ©Crédit photo JBC

Il est donc essentiel de reconnaître l'importance des paysages nourriciers et de comprendre que leur préservation passe par le soutien à nos agriculteurs locaux. Acheter des produits locaux, c'est non seulement encourager une économie plus durable, mais aussi contribuer à la beauté et à l'accessibilité de notre environnement.

Ainsi, nous encourageons une économie plus durable, contribuons à la beauté et à l'accessibilité de notre environnement, participons activement à l'entretien de nos campagnes, à la sauvegarde de la biodiversité et à la réduction de notre empreinte écologique.

 

Les paysages nourriciers sont ainsi bien plus que de simples vues pittoresques. Ils représentent un équilibre délicat entre l'homme et la nature, entre la production de nourriture et la préservation des écosystèmes. En les protégeant, nous nous assurons de continuer à profiter de ces espaces pour des générations futures, tout en garantissant l'accès à des activités de plein air, en harmonie avec l'environnement.

En somme, préserver les paysages nourriciers, c'est préserver notre mode de vie, qualité de vie, notre santé et notre planète.

Jean-Baptiste Casenave